Sélectionner une page

 

Va savoir pourquoi, tu as du temps pour écrire… Valais surprenant a conçu pour toi quelques cartes dans l’air de ces temps confinés. Mode d’emploi ? Tu télécharges, tu imprimes, tu découpes, tu timbres et tu envoies.

 

Depuis quelques mois déjà, l’idée de cartes postales marquées par le logo « Valais Surprenant » me trottine dans la tête. De façon répétée – traduire par « En boucle, toutes les trois semaines » – j’en parle à des ami.e.s photographes. L’un d’entre eux m’a même proposé vingt-quatre maquettes ! Avant que cela ne se fasse en vrai, que cela soit imprimé et proposé à la vente, j’ai pensé que le moment se prêtait à une première édition.

Puisant dans mes propres photos, en voici une sélection de quatre, avec des petits mots suggérés par cette période de confinement.

Il te suffit donc de télécharger le PDF (Cartes postales confinées ) de l’imprimer recto verso, et après tu as le choix de tes destinataires.

Pour te donner quelques références géographiques, la première (celle du panneau d’altitude) a été prise au Sanetsch en octobre 2012. Elle figure dans le tome I du « Valais surprenant et (d) étonnant » paru aux Éditions Slatkine. La seconde (celle du funi) remonte au 5 janvier 2016 lors de ma période funi SMC entre Bluche et Sierre. Elle a été réalisée avec mon iPhone et sans aucun filtre ou autre trucage numérique. Que de l’authentique ! La troisième (celle des sièges) s’avère plus récente et capte un moment du 29 juin 2019 au-dessus d’Evolène. Elle n’a évidemment pas été mise en scène, sinon cela ne serait rien que tricher dans le pas vrai. Et la dernière (celle des Toblerones et du tipi) date du 4 juin 2014, entre Martigny et Dorénaz. Elle occupe deux pages dans le second tome du « Valais surprenant et (d) étonnant ».

Voilààààà… Alors, apprécie ! Entre timbré.e.s, on ne peut que s’entendre !

Noës, le vendredi 3 avril 2020, Joël Cerutti

Tu pourrais aussi aimer:

Le meilleur du funi : toutes les photos (d)étonnantes

« Lire à la Montagne » : une bibliothèque à 2 100 mètres

Sébastien Gramm, vacher : « L’alpage ne m’a apporté que du bon pour me construire.»